Magicien inclassable mêlant subtilement théâtre, illusion et mentalisme, Thierry Collet est l’un des grands noms de la magie nouvelle en France.
 

Ce spectacle, à la fois ludique et interactif, nous raconte l’histoire d’un magicien mentaliste prenant conscience qu’aujourd’hui les machines exercent son métier mieux que lui, que les algorithmes sont plus rapides que sa pensée et les logiciels plus exacts que son intuition.

Alors que faire ? Résister ou pactiser ?

Se sentant dépassé par le pouvoir de ces nouvelles technologies, il décide de fusionner avec elles. C’est alors qu’il exécute une multitude de tours inédits à l’aide des réseaux sociaux, d’objets connectés et d’applications, qui repoussent les limites de l’illusion et fascinent autant qu’ils troublent.

Le résultat absolument spectaculaire va en époustoufler plus d’un·e. Après avoir assisté à Que du bonheur (avec vos capteurs), vous ne regarderez plus vos smartphones comme avant !

« La magie nouvelle fait du neuf avec de l’ancien. Collet le prouve avec un bagout qui mêle pédagogie et manipulation, vocabulaire update (necrobot, deep leaming) et vieilles ficelles (déjouer la vigilance du public), intelligence artificielle et artifices intelligents. (...) En ces temps numériques où pullulent cyberattaques et fake news, Collet alerte et divertit en même temps. Un tour de force tout en douceur. » - Étienne Sorin, Le Figaro

 

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International

Dans le cadre de l'invitation Les technologies et nous

Représentations

Conception, effets magiques et interprétation : Thierry Collet - Metteur en scène : Cédric Orain - Assistant de création : Marc Rigaud - Assistant de tournée et interprète : Frédéric Lambierge - Administration et coordination : Paul Nevo - Diffusion et développement : Julia Yevnine - Production et logistique : Léonard Poupot - Communication et développement des publics : Émilie Ade - Presse : Agence Plan Bey - Photographies : Simon Gosselin - Production : Compagnie Le Phalène - Coproductions : La Comète - Scène Nationale de Châlons-en-Champagne, Le Granit - ScèneNationale de Belfort, Maison de la Culture d’Amiens, Théâtre Sénart - Scène Nationale de Lieusaint, Villette, Paris - Soutiens : Hexagone - Scène Nationale Arts Sciences de Meylan, MAIF Social Club, L’Azimut - Antony/Châtenay-Malabry, Théâtres de Maisons- Alfort/Claude Debussy - Partenaires : Compagnie Le Phalène est conventionnée avec la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Île-de-France et reçoit le soutien de la Région Ile-de-France - Thierry Collet est artiste associé à : la Maison de la Culture d’Amiens, la Garance - Scène Nationale de Cavaillon, Scènes Vosges et La rose des vents, Scène nationale Lille Métropole Villeneuve d’Ascq - La Compagnie Le Phalène est partenaire de la Villette dans le cadre du développement du Magic Wip - La Villette - Remerciements : Romain Lalire et Dylan Foldrin pour leurs conseils techniques, Rémy Berthier et Claire Chastel pour le partage d’idées, Clara Rousseau pour les échanges durant la conception du projet - Les effets magiques ont été conçus à partir des travaux de : Theodor Annemann, Martin Eisele, Mark Kerstein, Alan Rorrison, Colin Mc Leod, Peter Turner, Dai Vernon. Les applications utilisées durant le spectacle sont accessibles en téléchargement : Replika, Qlone, Scan 3D, WeCheer, ScandyPro - Photo : Simon Gosselin - lephalene.com

« Acteur, illusionniste, magicien inclassable, Thierry Collet aime mettre en parallèle les ressorts de son art avec la manipulation mentale que nous subissons au quotidien (à travers les technologies, la publicité, les promesses politiques...) pour essayer d’éveiller les consciences. Ce septième et nouvel opus lui permet de présenter son parcours artistique et ses choix, qu’il entremêle de tours de magie, bien entendu sélectionnés avec soin... et avec une idée derrière la tête. Une création très personnelle. » - Mathieu Braunstein, Télérama

« Un peu de transhumanisme, un soupçon de hacking et beaucoup d’illusions. Thierry Collet enchante un public incrédule dans Que du bonheur (avec vos capteurs) (...). Difficile de repérer ce qui relève de la technologie, des tours traditionnels de magie, du détournement d’attention ou de la manipulation du langage, mais une chose est sûre, plus la représentation avance, plus les tours deviennent spectaculaires. » - Laure Beaudonnet, 20 minutes

« Inquiétante autant que fascinante, l’étrangeté de la pièce doit beaucoup à une narration proche du conte, qui se retrouve elle aussi placée sous le signe du doute. Est-ce elle, ou l’application utilisée, qui fait ressentir une pression sur l’épaule à un spectateur dont on ne touche que le double numérique ? » - Anaïs Heluin, La Terrasse